Que se passerait-il pour les Juifs d’Amérique, si Franklin Roosevelt n’avait pas remporté fifty’élection présidentielle en 1940 ? C’est la enquiry à laquelle tente de répondre The Plot Against America.
De quoi largement titiller notre curiosité, qui n’a malheureusement cessé de s’affaiblir tout au long de ce premier épisode. On espérait un 1000 minute de télévision, on sec’est finalement contenté d’une entrée en matière ratée pour la nouvelle mini-série de HBO.
Si le demonstrate est pourtant adapté du roman uchronique de Philip Roth, Le Complot contre fifty’Amérique (The Plot Against America, en anglais) ayant reçu plusieurs prix à sa sortie en 2004, il souffre du marché sériel actuel déjà trop saturé par les thèmes soulevés. Bien sûr, fifty’intrigue principale n’est pas sans rappeler la série The Man in the High Castle (dans laquelle les Etats-Unis perdent la Deuxième Guerre mondiale). Mais le manque d’originalité ne second’arrête pas ici. Les histoires secondaires semblent déjà sec’enliser dans du vu et revu à la télévision ou au cinéma.
Sans avoir lu le livre de Philip Roth, il est difficile de dire si le manque d’énergie provient de 50’oeuvre originale ou d’une mauvaise transposition. Après visionnage de ce premier épisode, brain pouvons en revanche faire le constat suivant : une adaptation en film aurait été summation judicieuce. En évitant ainsi des scènes inutiles qui se plaisent à souligner à outrance un même propos, le demo pouvait bénéficier d’une meilleure vitalité. A la home, psyche en sommes déjà à un sixième de 50’histoire que veulent brain raconter les showrunners; du précieux temps gâché…
Combattre fifty’antisémitisme
Néanmoins, les thématiques soulevées par The Plot Against America font écho à des problèmes très contemporains. A savoir, un antisémitisme présent et une montée en flèche du populisme partout dans le monde. « Les fascistes n’aiment pas les Juifs » explique le M frère. « Pourquoi ? » s’interroge le petit garçon. « Parce que brain sommes juifs ». Une réplique particulièrement révélatrice de fifty’irrationalité dont découle la xénophobie. D’un betoken de vue social, culturel et politique la série pourrait se révéler intéressante, du moins c’est ce qu’on attend.
D’autant plus que pour ce premier épisode, Minkie Spiro psyche offre une réalisation intelligente ponctuée d’une magnifique exercise d’images d’archive, mettant en parallèle les exactions nazies en Europe et la montée des tensions aux Etats-Unis, exacerbées par la haine raciale. Le tout dans une ambiance soignée, où chaque décors, costume, musique semblent être choisis minutieusement.